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Michel Cavargini - W454

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Pour une recentralisation de l'Etat

On pourra gloser des jours sur les résultats du premier tour des élections régionales qui ont donné un avantage incontestable aux forces de gauche (PS/Europe Ecologie/Front de Gauche) capables de remporter les 22 régions métropolitaines, elles qui en détiennent déjà 20 (seules l'Alsace et la Corse avaient été remportées par la droite en 2004). Avec un total estimé à 50% contre moins de 30 aux forces de droite (UMP/Nouveau Centre/MPF), le match retour s'annonce bien déséquilibré. A côté de ses deux grands blocs, on retrouve un Front National à 12%, en baisse relativement aux Régionales de 2004 mais en nette progression après des législatives et des européennes qui avaient amené certains observateurs bien peu lucides à enterrer le parti de Jean-Marie Le Pen qui a lui-même réalisé un score peu attendu en région PACA. Quant au MODEM, il s'enlise à moins de 5% ce qui devrait remettre en cause la stratégie de son leader François Bayrou qui ne porte pas ses fruits, loin de là.
Le constat essentiel à faire au lendemain du premier tour est bien évidemment celui d'une abstention qui n'a jamais été aussi forte pour de telles élections, aux alentours de 54% ! Plus de la moitié du corps électoral ne s'est pas déplacé aujourd'hui.
Quelles peuvent en être les raisons ?
D'abord, la désaffection des Français pour ces hommes et ces femmes politiques qui ne parviennent plus à apporter des réponses concrètes à leurs problèmes. Lassés de leurs disputes cathodiques, ils les sanctionnent en les boudant. Hier soir encore, les débats télévisés ont été d'une médiocrité telle qu'il faut vraiment s'intéresser de près la politique pour ne pas zapper immédiatement. Comment veulent-il capter l'attention de leurs compatriotes en se comportant de la sorte ?
Au-delà, les Français se demandent finalement si le politique a encore son mot à dire dans un monde dominé par l'économie et dans une France soumise aux diktats européens ?

Mais ce qui me paraît le plus évident et qui rejoint finalement ce sentiment d'impuissance qu'ont une majorité de Français c'est l'éloignement qu'ils ressentent vis à vis d'un pouvoir de plus en plus abstrait. La décentralisation avait pour ambition avouée de rapprocher le citoyen de ses représentants. On a ainsi créé des collectivités locales, départements et régions, aux compétences partagées. Mais le citoyen lambda sait-il aujourd'hui clairement à quoi sert une région ? Autant, l'échelon départemental reste proche du peuple, autant, l'échelon régional semble très éloigné. D'autant plus quand des rivalités départementales viennent se greffer à cet éloignement tant géographique que politique : en région PACA, les Niçois ne comprennent toujours pas que les décisions régionales se prennent à Marseille.

En fait de proximité entre les élus et les électeurs, l'échelon régional a surtout permis à certains de faire une carrière politique locale quand ils n'avaient pas l'envergure d'en faire une au niveau national. Ainsi, on a créé de toutes pièces des potentats locaux, des barons de pacotille aux privilèges exorbitants. Accrochés à leur siège comme on l'est à une bouée de sauvetage, ils règnent en maître absolu et parfois en despote sur leur territoire.

Il faut supprimer ce double échelon département/région qui ne permet pas d'éclairer le citoyen sur les responsabilités locales. A mon sens, le seul niveau local valable est la commune. L'intercommunalité est une solution appropriée pour permettre à des communes de s'unir et de réaliser des économies importantes dans certains domaines (transports, élimination des déchets, etc.). Je ne crois pas aux départements et aux régions comme collectivités locales. Mon vieux côté jacobin, totalement en inadéquation avec la pensée actuelle et dominante, m'amène à croire en l'Etat, à la Nation. Hors la commune, c'est à ce niveau-là que doivent se prendre les grandes décisions qui permettront à nos territoires, à nos "pays" comme on disait autrefois, de se doter des infrastructures nécessaires, de se développer de façon homogène, d'être compétitif au niveau économique.

La réforme prévue par le Gouvernement va dans le sens d'une moindre décentralisation et cela ne va pas sans me plaire malgré la timidité avec laquelle tout cela est mis en oeuvre. Après tant de marges de manoeuvre laissées aux édiles locaux, notamment parce que cela arrangeait bien l'Etat sur le plan financier et celui de la levée d'impôts, il serait enfin temps que le pouvoir central reprenne la main sur la gouvernance de notre pays. Il s'agit selon moi de l'une des priorités politiques pour les 10 ans à venir car c'est à partir de là que pourront se prendre les décisions sur les grands sujets de société que sont l'éducation nationale, la formation professionnelle, la sécurité, l'immigration, l'environnement, les réseaux de transport, la lutte contre les délocalisations, la fiscalité, etc. Seul un Etat fort et souverain peut apporter des réponses claires sur tous ces sujets. Voilà ce qu'attendent les citoyens. Loin des petites combinaisons politiques permettant de siéger dans tel ou tel conseil départemental ou régional.
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#Posté le lundi 15 mars 2010 05:14

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celine, Posté le vendredi 19 mars 2010 12:30

Cher Michel, je me permets de te copier ici ce que j'ai publié sur mon blog. J'ai la flegme de retaper tout !!!

Ah la politique ! J'ai commencé à m'y intéresser au printemps 1974 quand on colla des affiches de François Mitterrand devant la maison. Comme je ne veux offenser personne, je ne dirai donc pas ce que j'en avais pensé. Mais, dès lors, j'ai fait mes premières armes dans ce monde cruel où les hommes ont l'air de loups pour les hommes.

Puis, en 1981, j'étais alors une adolescente anti tout et quand la France a chanté et dansé la victoire de la Rose, par esprit de contradiction, j'ai boudé. Et j'ai boudé pendant très longtemps. Très très longtemps. En 1986, j'ai voté pour la première fois lors des législatives. Forte du succès de la majorité qui me semblait la plus à même de nous conduire au mieux vers demain, j'ai voté de nouveau en 1988. J'avais opté pour Raymond Barre. Lui, je l'aimais bien. Même en jeans (cf : les Guignols) !!! C'était un économiste de grand talent et de grande valeur humaine. Un peu comme le sont Alain Juppé (pour la Droite) et Jacques Delors, Michel Rocard ou Dominique Strauss-Kahn (pour la Gauche).

Or, en 1988, j'ai perdu. Et j'ai piqué une GROSSE colère. Si je parviens à retrouver ce que j'avais écrit à l'époque et à le scanner, je vous montrerai ça. Puis, le temps a passé et....

Je vous explique d'abord pourquoi je suis une abstentionniste régulière avant d'engager la discussion vers ce qui pourra en fâcher certains ? Ok.

Je fais partie des abstentionnistes récidivistes qui plus est !
J'ai souvent d'excellentes raisons pour cela : je déménage toujours en janvier ou février. Et la dernière chose à laquelle je pense en m'installant quelque part, c'est bien d'aller m'inscrire sur des listes électorales. Je l'avoue humblement, je ne suis pas une citoyenne modèle, loin s'en faut.

Pourtant, j'ose me croire une citoyenne impliquée et concernée - je ne serais pas là si tel n'était pas le cas - quand des élections ont lieu et que je n'ai pas pu y participer. Je ne fais pas partie des déçus. Je fais partie de ces gens qui entendent les discours, qui les écoutent attentivement même, mais qui n'y croient plus vraiment. Trop de distance entre les pouvoirs - y compris locaux - en place et la vie de tous les jours. Pas de temps à perdre souvent pour en discuter. Et puis, les discours sont souvent les mêmes. On prend les mêmes thèmes et on tourne autour de nos idées pour en faire des campagnes sensées récupérer des brebis égarées.

Je me suis égarée pour la première fois en 1988. La réélection de François Mitterrand m'a parue être un danger potentiel pour l'avenir. Alors je me suis insurgée, du haut de mes 21 ans, en silence, en catimini, car personne n'entendait alors ce que je pouvais dire.

Aujourd'hui, alors que je n'ai pas voté depuis fort longtemps - déménagements fréquents obligent - je me dis que j'ai sans doute loupé quelque chose. J'étais à Paris en 2007. Dans le XVIIIème arrondissement. Je vivais dans des conditions TRES précaires et j'avais le siège de l'UMP en bas de l'immeuble lors de l'élection présidentielle. J'ai fêté ça avec eux.
Quelques semaines plus tard, il y eut les législatives. Je ne pouvais toujours pas voter car arrivée à Paris le 28 janvier 2007. J'étais dans un quartier proche de la Mairie du XVIIIème, où tous les QG de campagne - ou presque - se regroupaient. J'ai observé les uns, j'ai participé aux campagnes des autres car, connaissant un peu mieux les éligibles, ça m'amusait et je me disais qu'ils ne pourraient pas être de pires représentants que ceux qui ne se déplacent jamais à l'Assemblée. J'ai participé à ma façon pour certains. Mais je n'ai pas voté.

Par voie de conséquence, je me suis longtemps abstenue de commentaires sur la politique. Je ne me sentais pas le droit de venir "ramener ma fraise", comme on dit, alors que je n'avais pas fait ce qu'il fallait pour en avoir la légitimité.

Aujourd'hui, c'est différent. D'abord parce que j'estime que mon opinion non votante peut expliquer pas mal de choses. Croyez-moi, si j'avais été plus convaincue, j'aurais fait des pieds et des mains pour mettre des bulletins dans des urnes !
J'ai des convictions politiques profondes et, je l'espère, fondées sur des choses concrètes. Toutefois, je me refuse à adhérer à un parti politique. Quel qu'il soit.

Pour autant, si je pouvais aller voter dimanche, je crois que…en dépit de bien des choses, je n'arriverais pas à voter pour Alain Rousset (un homme bien, d'après ce que j'en sais, et qui semble efficace dans la région) parce que je ne veux pas donner ma voix à une récupération nationale. Mon problème à moi c'est que je suis fondamentalement libérale, fondamentalement démocrate, et que le PS me donne des boutons d'herpès. En dehors de quelques rares représentants (déjà cités plus haut), je ne les aime pas. Ils sont creux, vides, et ne surfent que sur le passé. Leurs propositions pour demain sur le plan national sont quasiment inexistantes. Or, sur le plan local, ils s'en sortent souvent bien.

Peut-on dès lors envisager une vision de la République différente de ce qu'elle propose actuellement ?

Quid de la décentralisation des pouvoirs. A trop vouloir décentraliser, l'Etat n'a-t-il pas perdu de sa crédibilité ? Car dès qu'il essaye de reprendre en main les choses, on l'accuse de tous les maux.

Enfin, la montée des extrêmes me fiche la trouille. Je l'avais prévue en 1988 quand personne ne me croyait.
Ainsi que je l'ai dit par ailleurs, il serait sans doute temps pour les républicains convaincus, ceux qui croient encore en l'humain sous toutes ses acceptions démocratiques, de s'allier avec d'improbables amis pour contrer les extrêmes. Toutes les extrêmes.

Le bât blesse actuellement. Il blesse là où les politiciens ont tous perdu leurs électeurs. Il blesse parce que leurs discours ne sont que politiques et pas assez proches des gens. Ils devraient écouter plus et parler moins. Ca peut aider. Parfois.



Mais admettons que tout ceci ne soit que discussion stérile et que la montée en puissance des extrêmes ne soit qu'une façon de mettre le trouillomètre à zéro à tous les abstentionnistes républicains et démocrates (aux USA, les deux mots côte à côte feraient hurler !!!) afin qu'ils se bougent les fesses pour revenir dans le droit chemin.



On se retrouvera donc dimanche soir (le 21 mars 2010) avec des régions toutes roses (ou presque). Certaines seront roses et teintées de vert. L'association des deux couleurs peut-être jolie dans le paysage. C'est très printannier, vous ne trouvez pas ?

Dimanche soir - à l'image de ce qui se passa dimanche passé -, les électeurs du PS auront le sourire, pensant qu'ils seront parvenus à se faire entendre par les urnes. A faire entendre leur anti-sarkozisme. Car, hélas, la récupération nationale de ce résultat régional est inévitable. Même à Droite, il me semble évident que les rangs se sont dispersés et qu'on entend des voix dissidentes parmi le troupeau. Je sais que les régions sont en général bien gérées par la Gauche.

Mais qu'en est-il lorsque l'on donne un pouvoir plus national à cette même Gauche ? N'oublions pas les échecs récents et le prix à payer pour ces échecs, auxquels se sont rajoutés les effets de la crise économique et financière.



Je ne suis pas prophète ni conseillère politique. Je peux juste dire qu'à la place du Président Sarkozy, je commencerais à en avoir plein les bottes de cette situation où, quoi que l'on entende dans les médias, il est toujours décrié et coupable de tous les maux. A sa place, je me déciderais à dissoudre l'Assemblée et ainsi provoquer des Législatives et, quitte à devoir subir une nouvelle cohabitation, je laisserais les socialistes montrer ce qu'ils savent et peuvent faire face aux problèmes actuels. De ce que j'en ai vu jusqu'à présent, les socialistes ont toujours été très bons à gérer le quotidien mais nuls quand il s'agissait de prévoir demain. La preuve en est qu'à chaque fois qu'ils ont gouverné, ils ont perdu les élections suivantes.

Aussi, dans l'optique de 2012, si j'étais Nicolas Sarkozy, je dirais aux socialistes : "voici l'opportunité pour vous de démontrer que vous pouvez sauver le pays ! On vous laisse les clés ! Amusez-vous bien !!!" et j'attendrais patiemment ce qui ne manquerait pas d'arriver, avec pour conséquence ma réélection.

A quoi bon se battre quand il suffit de laisser les autres le faire ? Jacques Chirac avait bien compris cela. Et comme la Gauche est totalement incapable de jouer sur la durée, incapable aussi, depuis Mitterrand, de fournir des candidats sérieux, des projets compatibles avec le monde REEL, des programmes ambitieux et réalisables (je pense encore avec amusement aux 101 propositions de François Mitterrand...j'en ris toujours, vous savez ?), c'est tout bénef pour la Droite.



Ceux que je plains le plus, dans tout ça, ce sont les sympathisants socialistes qui croient vraiment que leur mouvement peut devenir l'avenir de l'Homme. J'aimerais y croire aussi si le monde était différent. On peut rêver dans des tas de domaines. Quand on rêve en politique, c'est dangereux. Cela peut s'avérer catastrophique. En politique plus qu'ailleurs, il faut composer avec le monde qui nous entoure avant de faire valoir nos idéaux.



Alors je sais bien que mes amis de Gauche vont hurler en lisant tout ceci. Je vais avoir droit à des mesures punitives (au moins !!!) mais bien qu'appréciant beaucoup leurs idées, je n'aime pas particulièrement ce qu'ils veulent en faire, ni les raccourcis qu'ils prennent. De plus, j'ai toujours été libérale et je le serai sans doute toujours. Libérale ET sociale. Pour reprendre ce qu'avait répondu Giscard à Mitterrand : "vous n'avez pas le monopole du coeur". Je suis totalement et définitivement convaincue qu'on ne peut aider personne sans argent. Or, pour avoir de l'argent, il faut....etc, etc, etc...


W454, Posté le lundi 15 mars 2010 06:27

Lis-le en horizontal la prochaine fois lol !
Si je vais au bout de mon raisonnement, je suis pour la suppression de toute collectivité locale hormis l'échelon communal, et pour le retour à un Etat fort et souverain. Du bon jacobinisme à l'ancienne quoi !


Cédric, Posté le lundi 15 mars 2010 05:58

Michel, je n'ai lu qu'en diagonale ton article donc excuse-moi si j'ai mal compris le propos. Tu semblerais pour la suppression de la Région? Ou une Régionalisation des départements?


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